Système d'Information Décisionnel - Le blog de Michel Bruley

Depuis très longtemps, je collectionne les sentences qui m’ont intéressé, j’en ai plusieurs centaines et depuis quelque temps j’essaie de les regrouper par thématique. Ci-dessous une série sur deux thèmes : l’engagement et la décision.

L’engagement
Le fait suggère l’idée, l’idée dirige l’expérience, l’expérience juge l’idée.
Dans la nature c’est toujours la voie de la facilité qui prédomine.
Ne faire qu’une chose à la fois et chaque fois choisir l’essentiel.
Ce n’est pas en optimisant la bougie qu’on a inventé l’ampoule.
Créer signifie réinventer.
Le succès n’est pas final, l’échec n’est pas fatal, c’est le courage de continuer qui compte.
Quelle que soit la chose que vous pouvez faire ou que vous rêvez de faire, faites-la. L’audace a du génie, de la puissance et de la magie. Commencez dès maintenant.
Les choses importantes sont rarement urgentes. L'urgent est synonyme d’éphémère et l’éphémère n’est jamais important.
Ce n’est pas parce que les choses sont difficiles que nous n’osons pas, c’est parce que nous n’osons pas qu’elles sont difficiles.
Il y a bien des manières de ne pas réussir, mais la plus sûre est de ne jamais prendre de risques.
L’échec ce n’est pas de renoncer quand on a essayé, mais de ne pas essayer.

La décision
L’exercice supérieur de l’intelligence, c’est la décision, pas l’analyse.
Un oui, un non, une ligne droite.
Les choix relèvent de la volonté et non pas du calcul.
La peur est une réaction. Le courage est une décision.
Les choix les plus essentiels que nous ayons à faire dans notre vie, professionnelle ou privée, consistent à décider de ce qui est important.
Toute chose a la valeur que l’on veut bien lui donner.
La résignation est un suicide quotidien.
La démission socratique ou l’espérance chrétienne.
L’acceptation sans révolte d’une fatalité incompréhensible ou le report du bonheur dans un au-delà improuvé.
Sacrifier aux dieux de l’empire. (Se conformer, passer inaperçu).
Pouvoir ce que l’on veut et vouloir ce qu’il faut.
Le pouvoir n’est rien … seule compte l’influence.
Le pouvoir qu’on vous prête vous en donne.
La passion de l’égalité rend facilement liberticide.
Mon centre cède, ma droite recule. Situation excellente, j’attaque.
Les plus grands hommes se trompent comme le vulgaire.



l[]l

Depuis très longtemps, je collectionne les sentences qui m’ont intéressé, j’en ai plusieurs centaines et depuis quelque temps j’essaie de les regrouper par thématique. Ci-dessous une série sur deux thèmes :

Agir
• Toute action ne nous engage-t-elle pas dans un jeu que nous ne pouvons entièrement contrôler ?
• Celui qui n’essaie pas ne se trompe qu’une fois.
• L’expérience ne s’acquiert pas en un jour et à ne jamais vouloir essayer quoi que ce soit, il n’y a aucune chance d’en avoir.
• Les bateaux sont en sécurité dans les ports, mais ils ne sont pas faits pour cela.
• Un intellectuel assis va moins loin qu’un con qui marche.
• L’imagination ne sait pas inventer, c’est l’action qui invente.
• Les professeurs ouvrent les portes, mais vous devez entrer vous-même.
• Toute suprématie pratique appartient à l’activité.
• Il n’y a dans la vie que des commencements.
• La pensée vole, les mots vont à pied.
• La logique est statique : une argumentation logique satisfait l’esprit, elle ne l’entraîne pas.
• Nous sommes contre le conseil, nous ne faisons que de l’action.
• Loi de Brandolini pour l’information : la quantité d’énergie nécessaire pour démonter des conneries est supérieure d’un ordre de grandeur à celle qu’il faut pour les produire.
• La route est droite, mais la pente est forte (et dans le brouillard).
• Le bouddhisme enseigne qu’il n’existe aucune fatalité.

Façon d’agir
• Il faut réfléchir avant d’agir.
• RTFM (read this funking manual).
• Agir en primitif et prévoir en stratège.
• Un grand sens paysan : aller droit aux choses sans aucun mélange.
• Il faut savoir aider ce qui vient de loin.
• Il faut traverser la rivière en tâtant les pierres.
• Le secret des réussites réside dans la judicieuse persévérance.
• Les plans importent peu, c’est le processus de planification qui compte.
• Un bon plan aujourd’hui est préférable à un plan parfait demain.
• Le silence est un ami qui ne trahit jamais.
• Organiser, ce n’est pas mettre de l’ordre, c’est susciter la vie.
• On ne gère pas les gens, il s’agit de les guider. L’objectif est de rendre productifs les points forts et le savoir de chaque individu.
• Le talent, tout le monde en a. Ce qui fait la différence, c’est l’obstination.
• On n’obtient rien quand le cœur n’y est pas.
• Rien ne se crée avec rien. Ce serait comme dire qu’un enfant naît d’un enfant.
• Une improvisation se répète “ 3 fois ”.
• Si tout vous semble sous contrôle, c’est juste que vous n’allez pas assez vite.
• Gesticulation = action virtuelle destinée à faire croire que l’on agit alors que l’on ne fait rien.
• Il faut vouloir fortement une chose pour qu’elle arrive, et vouloir est insuffisant, pour obtenir le succès il faut aussi du talent et de la chance.
• Plumez le poulet plume par plume et personne ne le remarquera.
• L’art de la politique, c’est l’art de tirer des bords.
• Arguments blindés pour passer en force.
• Quand vous quittez votre ennemi, il faut le laisser pour mort sinon il vous tuera.

Depuis très longtemps, je collectionne les sentences qui m’ont intéressé, j’en ai plusieurs centaines et depuis quelque temps j’essaie de les regrouper par thématique. Ci-dessous encore une série consacrée à la stratégie et à l’action :

Si nous avons souvent besoin d’une conception d’ensemble, il est rare qu’il nous faille un exposé détaillé.

« Qui coopère perd », celui qui s’expose et donne sans rien recevoir en retour se fragilise au profit de prédateurs égoïstes qui refusent de partager.

Copie d’une personne = un plagiat ; copie de 2 personnes ou plus = une recherche

L’audace, sans elle, on n’obtient rien.

Le plus grand danger pour la plupart d’entre nous n’est pas que nos objectifs soient trop hauts et que nous les rations, mais qu’ils soient trop bas et que nous les atteignons.

Attention, chercher à combler ses lacunes, c’est investir là où on a échoué.

On ne fait le salut des autres qu’en faisant d’abord le sien.

Mise en danger et défense de l’essentiel. S’arcbouter sur ses points forts.

Impose ta chance, serre ton bonheur, va vers ton risque. À te regarder, ils s’habitueront.

Le plus souple en ce monde domine le plus rigide.

Le meilleur moyen de se défaire d’un ennemi, c’est de s’en faire un ami.

La sincérité est presque toujours un calcul adroit.

La propagande est à la démocratie ce que la matraque est à l’état totalitaire.

Ce que l'on ne peut empêcher, il faut le vouloir.

Le mot réalisme est, la plupart du temps, une traduction polie du mot lâcheté.

Il n'y a pas de problème qu'une absence de solution ne puisse solutionner.

Quand on n’arrive pas à résoudre un problème, le mieux c'est de changer de problème.

Si l'on veut obtenir quelque chose que l'on n’a jamais eu, il faut tenter quelque chose qu'on n’a jamais fait.

Il est peu d’engagements qu’on ne puisse tenir d’une certaine façon. J’ai parié que je boirai la mer ! bien, mais pas : d’un seul trait, car le sage boit lentement, ni les fleuves qui entrent dedans ou les poissons, alors retirez-les.

Se faire battre est excusable, se faire surprendre est impardonnable.

À l’éternel retour de la chance.

La chance, cette forme laïque du miracle.

Le hasard ne favorise que les esprits bien préparés.

Quand tu penses qu’il n’y a plus aucun espoir, pense aux homards qui se trouvaient dans l’aquarium du Titanic.

La liberté enfante l’anarchie, l’anarchie conduit au despotisme, et le despotisme ramène à la liberté.

Depuis très longtemps, je collectionne les sentences qui m’ont intéressé, j’en ai plusieurs centaines et depuis quelque temps j’essaie de les regrouper par thématique. Ci-dessous la 3e série consacrée à la guerre, la stratégie, au plan.

Le vice fomente la guerre ; la vertu combat. S’il n’y avait aucune vertu, nous aurions pour toujours la paix.

La guerre n’est pas si onéreuse que la servitude.

La guerre mère de toute chose (bellum omnium mater).

Amat victoria curam (la victoire aime qu’on s’occupe d’elle).


La stratégie est un art d’exécution.

La gestion ne doit pas être confondue avec la stratégie : la première minimise les risques, la seconde les optimise.

Orientation client et transformation permanente ne font pas une stratégie.

La stratégie est une science de l’autre, d’adaptation à l’autre, quand bien même cet autre est un ennemi.

Si l’on ne sait pas où l’on va, on ne peut pas se tromper.

Quand on ne sait pas où l’on va, tous les chemins mènent à nulle part.

Si vous ne savez pas où vous allez, vous allez probablement vous retrouver ailleurs.

Si vous ne savez pas où aller, tous les chemins vous y conduiront.

Quand tu ne sais plus où tu vas, retourne-toi et regarde d’où tu viens.

Il n’y a pas de vent favorable pour celui qui ne sait où aller.

Être dans le vent, c’est une ambition de feuilles mortes.


Aucun plan ne survit au contact avec l’ennemi.

Labor omnia vincit imporbus. Un travail infatigable vient à bout de tout.

Mieux vaut prendre le changement par la main, avant qu’il ne vous prenne par la gorge.

La force des choses nous conduit parfois à des résultats auxquels nous n’avons pas pensé.

Nous sommes pressés, allons lentement.

Je préfère la vitesse à la perfection.

Les effets de la surprise ont cela de particulier qu’ils relâchent violemment les liens de l’unité.

La surprise : un grand ressort de l’esprit nouveau.

Depuis très longtemps, je collectionne les sentences qui m’ont intéressé, j’en ai plusieurs centaines et depuis quelque temps j’essaie de les regrouper par thématique. Ci-dessous la 2e partie de la 2e série consacrée à la vérité.

1. La Grèce, berceau des arts et des erreurs, et où l’on poussa si loin la grandeur et la sottise de l’esprit humain.

2. Se tromper à sa façon personnelle, n’est-ce pas même presque mieux que de dire la vérité, mais seulement d’après les autres ?

3. Pour les choses compliquées, il est toujours souhaitable de trouver des explications simples. Surtout si l'on veut être certain de se tromper.

4. Le danger d’une erreur, c’est la part de vérité qu’elle contient.

5. La bouche est la source de tous les maux.

6. Il y a trois sortes de mensonges : les mensonges, les sacrés mensonges et les statistiques.

7. Un mensonge peut faire le tour de la terre le temps que la vérité mette ses chaussures.

8. Le mensonge est un bien précieux, il faut le protéger par une carapace de vérités.

9. Il y a une zone grise entre le mensonge et la vérité.

10. C’est un peu vrai. Mais pas vrai à cent pour cent. Les gens pensent toujours que ce qui est vrai est vrai à cent pour cent.

11. Mentir, c’est voler au secours d'une vérité cachée.

12. Un menteur s’efforce d’être plausible : ce qu’il racontait, ne l’étant pas, devait être vrai.

13. L’histoire n’est que la transmission de mensonges. La presse n’est qu’une machine à diffuser des mensonges.

14. L'Histoire est une suite de mensonges sur lesquels on est d'accord.

15. Quand fond la neige, où va le blanc ?

16. La lucidité est la gloire de l’homme.

17. Rien ne m’est sûr que la chose incertaine.

18. La clé universelle de l’excellence n’existe pas, elle doit être remodelée en permanence au gré de l’évolution de l’environnement.

19. Qu’est-ce qui est plus insondable que la Kolyma, Auschwitz et l’holocauste ?

Depuis très longtemps, je collectionne les sentences qui m’ont intéressé, j’en ai plusieurs centaines et depuis quelque temps j’essaie de les regrouper par thématique. Ci-dessous la 1° partie de la 2e série consacrée à la vérité.

Détruisez les idoles qui sont dans vos têtes. (Il n’existe pas un ensemble de vérité, la vie est multiple, diverse et inattendue).

Jamais nous ne trouverons la vérité si nous nous contentons de ce qui est déjà trouvé. Ceux qui écrivent avant nous ne sont pas des seigneurs, mais des guides.

Je vomis toutes les vérités absolues et leurs applications totales.

Toute vérité franchit trois étapes : d’abord elle est ridiculisée ; ensuite elle subit une forte pression ; puis elle est considérée comme ayant toujours été une évidence.

À chaque vérité correspond une vérité opposée.

Il ne faut jamais juger un homme sur ses fréquentations. N’oublions pas que Judas avait des amis irréprochables.

Je hais cette fatuité d’un esprit qui croit excuser ce qu’il explique.

« L'ennui dans ce monde, c'est que les idiots sont sûrs d'eux et les gens sensés pleins de doutes ».

L’hérétique est celui qui a une opinion.

Yvetot vaut Constantinople.

Il n’est pas possible de prouver que quelque chose n’existe pas.

Ce qui a besoin d'être prouvé pour être cru ne vaut pas grand-chose.

Une chose dont on ne parle pas n’a jamais existé. C’est l’expression seule qui donne une réalité aux choses.

Pour qu’une chose soit intéressante, il suffit de la regarder longtemps.

On admire tout ce qu’on se donne la peine d’approfondir.

Un pessimiste c’est un optimiste informé.

Pour se faire des ennemis, pas la peine de déclarer la guerre, il suffit de dire la vérité.

C’est avec des légendes que l’on gouverne les peuples.

Tout s’use. Le magnétisme des choses, les gens, le mystère, la beauté, le prestige de la nouveauté, l’amour, tout …

Le vrai rideau de fer, c’est entre les riches et les miteux … les questions d’idées sont vétilles entre égales fortunes.

Depuis très longtemps, je collectionne les sentences qui m’ont intéressé, j’en ai plusieurs centaines et depuis quelque temps j’essaie de les regrouper par thématique. Ci-dessous une première série consacrée à l’analyse.

Le poisson vit dans l’eau, il ne peut bondir au dehors de celle-ci, pour voir à quoi elle ressemble. (On ne peut pas connaître tous les aspects de sa propre culture).

Ce sont nos sentiments qui s’interposent entre la réalité et nous. Svetlana Alexievitch

Plus vous progressez dans un sujet, plus ce que vous découvrez n’est pas évident.

Le savant n’est pas l’homme qui fournit les vraies réponses, c’est celui qui pose les vraies questions. Claude Levi Strauss

À force de tout tordre, on voit tordu.

La pensée fait feu de tout bois, elle délire le monde.

Quand votre esprit est étroit, les petites choses vous agitent facilement. Faites de votre esprit un océan.

L’abus des mots nous trompe sur les choses.

L’œil regarde, mais seule la sensibilité voit.

L’imprécision est la mère de la tromperie.

On ne peut reconnaître que ce que l’on connaît déjà.

Tout ce qui fait partie de notre univers n’est ni simple, ni simplifiable, mais multidimensionnel, imprévisible et diversifié. Morin

L’intérêt particulier fascine les yeux et rétrécit l’esprit. Voltaire

Le monde est tout ce qui a lieu. Wittgenstein

Le premier problème c’est le problème.

Un problème bien posé est un problème à moitié résolu. Il n’y a pas de bonne réponse à une mauvaise question.

Faute de réflexion, vous risquez de laisser vos émotions l’emporter sur votre raison.

Les mots ne sont pas innocents. Ils traduisent une idéologie, une mentalité, un état d'esprit. Laisser passer un mot, c'est le tolérer. Et de la tolérance à la complicité, il n'y a qu'un pas. Gisèle Halimi

Savoir pour pouvoir. L’art implique un lien fort entre forme et sens.

La politique, dans son sens le plus noble, concerne ce qui est relatif l'exercice du pouvoir dans une société organisée sous la forme d’un État, mais dans la vie de tous les jours elle se réfère à la pratique du pouvoir, aux luttes, aux éléments de langage … qui concrètement au mieux relèvent de la manipulation de masse, de la propagande …

1 - De l’instrumentalisation politique de la 5G

La 5G est progressivement mise en place dans tous les pays
La mise en place de la 5G génère des oppositions très politisées
Attention aux manipulations et en particulier à l’instrumentalisation des études

Pour accéder au texte : cliquez ici


2 - De la violence en France

Le violent est une victime de la société
La violence est souvent légitimée
La violence paie
Le recours à la violence va-t-il se développer ?

Pour accéder au texte : cliquez ici


3 - Capitalisme et classes moyennes vont-ils toujours faire bon ménage ?

De la prédiction de la fin du capitalisme
Les classes moyennes nouvelles source d’espoir de révolution pour les « constructeurs d’avenir »
Les nouvelles technologies vues comme un danger pour l’emploi des classes moyennes
Le constructivisme politique n’a rien appris de l’échec du communisme

Pour accéder au texte : cliquez ici


4 - Liberté individuelle versus collectivismes & autres interventionnismes néfastes

Le libéralisme doit être réhabilité
Les constructivistes politiques sont dangereux
L’historicisme est une aberration
L’humanité a son avenir en main

Pour accéder au texte : cliquez ici

La COM est à la communication ce que la malbouffe génératrice d’obésité, d’hypertension, de diabète, de troubles divers … est à une saine alimentation. Dans le but de manipuler, elle déforme le langage en utilisant mal les mots, elle mésinforme, désinforme, ment effrontément et finalement en ruinant la confiance, porte atteinte à la démocratie.

1 - Génocide : les mots sont des armes à manier avec précaution

La guerre d’Ukraine est une période de grandes propagandes qui déforme largement l’appréciation des événements par les publics qu’elles ont touchés. D’un côté, la guerre est niée et ses conséquences totalement édulcorées, de l’autre c’est surtout le registre émotionnel qui a été exploité avec une emphase de vocabulaire souvent éhontée, comme avec l’utilisation du mot génocide.

Pour accéder au texte : cliquez ici

2 - L’anathème de populisme : une arme pour disqualifier son interlocuteur ?

À propos du populisme

D’après les spécialistes politiques, il existerait différents types de populisme, ils auraient en commun de considérer que la politique devrait être l’expression de la volonté du peuple et que le peuple doit se défendre contre une liste variable d’ennemis (les puissants, les élites, les capitalistes, les financiers internationaux, les gens des grandes villes, les étrangers …). Les populismes auraient la revendication commune d’être : un moyen de mobiliser le peuple ; une nouvelle lutte des classes ; une force d’émancipation ; la voie pour un partage équitable des richesses … (demain, on rase gratis).

Pour accéder au texte : cliquez ici

3 - Aujourd’hui, politicien et menteur sont devenus synonymes

Les hommes politiques ne nous respectent pas et mentent de façon éhontée

Les hommes politiques se plaignent de ne plus être bien considérés, mais le politiquement correct qu’ils nous imposent, multiplie les mensonges, soi-disant pour le bien général, et détruit la communauté en violant la première valeur humaine : le respect. Sans respect, sans considération, il ne peut y avoir de confiance. Les mensonges sont vécus comme de la déloyauté, de la malignité, de la trahison.

Pour accéder au texte : cliquez ici

4 - S’informer devient une quête du Graal

L’objectivité en question

En philosophie et en science, l'objectivité est, selon le dictionnaire Larousse, la « qualité de ce qui est conforme à la réalité, d'un jugement qui décrit les faits avec exactitude ». Il s'agit d'exprimer ou de traiter des faits tels qu'ils sont perçus sans distorsion par des sentiments, des préjugés ou des interprétations. Cependant, si l’on excepte le domaine des sciences dures, l’objectivité est une illusion. Notre vision du monde extérieur est toujours déformée par notre monde intérieur, comme pour la mère qui dit que son fils l’aime par-dessus tout, parce qu’il donne 200€ par semaine à son psy, rien que pour parler d’elle.

Pour accéder au texte : cliquez ici

Depuis avril 2019, j’ai effectué quelques recherches sur les religions, en particulier sur le christianisme qui m’ont amené à publier différents documents et articles que j’ai compilé dans un ensemble intitulé Dieu, y es-tu ? que l’on peut trouver sur Slide Share.

1 – De l’athéisme

Dans ce texte je veux aborder la problématique de l’athéisme afin de finalement me positionner sur le sujet de l’existence d’un dieu, sachant que tout mon travail m’a renforcé dans mon rejet spontané des religions :
• Les religions sont humaines
• L’existence d’un Dieu ne peut être établie
• La sauvegarde de son petit moi n’est pas un bon objectif

Pour accéder au texte : cliquez-ici

2 - Se protéger des manipulateurs religieux est un travail pour Sisyphe

• En Europe, le déclin culturel du moyen âge a été dû au christianisme
• Les Rois occidentaux et l’église de Rome se sont mutuellement aidés à prendre le pouvoir
• L’église de Rome a cherché à imposer une théocratie
• L’échec de la théocratie a amorcé la fin de l’emprise du christianisme sur la société européenne

Pour accéder au texte : cliquez-ici

3 - Au moyen âge, pour asseoir sa suprématie, la théocratie pontificale a sanctifié la guerre

• Effondrement de l’Empire chrétien unifié
• Théocratie pontificale
• Les croisades
• De la guerre licite à la guerre sanctifiée

Pour accéder au texte : cliquez-ici

4 - La bible est-elle un instrument de manipulation politique ?

• Qu’est-ce que la bible ?
• La Bible face à l’histoire et l’archéologie
• Pourquoi a-t-on écrit la Bible ?
• En conclusion

Pour accéder au texte : cliquez-ici

5 - De la Renaissance à nos jours : fin de l’emprise chrétienne sur le monde

• Le saut qualitatif de la Renaissance
• L’indépendance des nations en matière religieuse
• Le concept de liberté a façonné le monde d’aujourd’hui
• La fin de la domination chrétienne

Pour accéder au texte : cliquez-ici

6 - Demain est un autre jour : à l’éternel retour de la chance

De l’imprévisibilité des événements
Du désir de rationaliser l’aléatoire
Le hasard a le dernier mot

Pour accéder au texte : cliquez-ici